• Frisquet, mais si beau...

    Mars en Picardie, un hiver qui n’en finit pas, treize jours devant nous sans rien de prévu au calendrier, une envie de moto... ça vous fait faire de drôles de trucs : voilà-t-y pas qu’il nous vient l’idée d’aller chercher la douceur et le soleil... en Bretagne ! Si ! Et pour corser le tout, en passant par la Normandie ! A défaut de canicule, et sans s’attarder sur les deux jours de pluie de la balade (après tout on n’est pas en sucre), ces superbes régions nous ont gratifié de belles et fréquentes éclaircies... et d’une gastronomie rien moins que diététique. Fallait bien récupérer les calories qu’on n’avait pas à l’extérieur ! 2700 bornes de bonheur. Comme quoi, on en fait des trucs en deux semaines. 

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

    Bretagne 2017 à moto : frisquet mais si beau...

     Pratique

    Ce sont des coins (à peu près) civilisés : pas besoin d’un guide de l’aventure. Une ou deux applis sur son smartphone pour improviser l’hôtel qui va bien au fil des étapes, et roule ma poule.

    Tartine affectionne les cartes Michelin papier traditionnelles (indéchirables quand même !).

    Pour ma part, en bon geek de service, je suis converti aux cartes numériques (Michelin, IGN, Google Maps, Maps.me etc...) dont j’ai farci mon smartphone, logé dans un étui étanche et tactile au guidon.

    Il me sert en plus de GPS (Avertinoo, Waze, TomTom...) et, comme on dit pudiquement, « d’outil d’aide à la conduite », annonçant des « zones de danger ». Traduisez, annonceur de radars. Vous savez, ces machines à manger les points, un par un, pour des micro dépassements de vitesse n’ayant aucune incidence sur la sécurité... 

       

    Combien ça coûte

     Evidemment, vu qu’on est encore en hiver, et qu’en bons séniors, faut se ménager pour durer, on a zappé la tente. A coups d’Airbnb, Booking.com et autres Trivago, on peut se loger à prix contenus en cette saison.

    Côté restos, on a eu de belles surprises pour des additions très raisonnables.

    Il est vrai qu’on ne chasse pas l’étoilé.

    Comme on n’est pas parti pour chipoter au guidon, le gros poste, c’est le carburant, même si les Yamaha MT07 en condition de voyage-balade sont de vrais chameaux. Dans le détail :

     

    -Logement : 480 euros pour 11 nuitées (2 jours hébergés par des amis bretons) soit un petit 44 euros par jour en moyenne avec un record mini  à 31 euros (par Airbnb, un super logement dans une maison entière !) et un maxi à 55 euros (par Booking).

    -Restos : 250 euros pour 7 repas à deux, soit un petit 36 euros en moyenne (maxi 56, mini 25).

    -Divers épicerie (pique-niques et repas du soir) : 120 euros.

    -Dépenses diverses en liquide : 250 euros.

    -Carburant : 333 euros pour les deux motos soit une moyenne de 4,4 litres au cent pour chaque machine, tout au long des 2700 km de la balade.

    Total : 1433 euros, soit 110 euros et des poussières pour deux par jour, soit encore 55 euros par tête.

    On aurait vraiment tort de s’en priver... 

     

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