• Divine errance...

    Tout a commencé par une retraite hivernale spécial-séniors en Espagne. Mais en fait de farniente ibérique, le séjour s’est transformé en stage intensif à deux (volontaires) d’un mois de bicyclette ! Du coup, ça aurait été dommage de gâcher de si beaux mollets...

    Alors à peine sommes-nous revenus at home... que le printemps nous voyait repartir sur nos petites reines pour un vagabondage au long cours dans notre doulce France. C’était tellement bon que les 45 jours du projet initial se sont transformés en 75. Trop dure la retraite... 

    La France à vélo 2015: divine errance...

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    Vélo pratique 

    Pas besoin de la randonneuse lourde comme une enclume et farcie d’équipements pour voyager. On a joué la carte de la légèreté et équipé nos vélos de route (des Lapierre cadre carbone, roues étroites de 700) de bagagerie minimaliste d’origine américaine (Topeak). Très adaptée si l’on s’en tient au minimum et à une dizaine de kilos d’affaires par personne. Du coup il faut faire des choix: pas de camping, mais des chambres d’hôtes, priorité aux vêtements cyclistes de qualité (5 heures de selle en moyenne par jour et entre 75 et 110 km selon le terrain) et une unique tenue « civile » pour le soir avec un pain de savon pour la petite lessive.

    Il restait même de la place pour caser nos liseuses électroniques et le chargeur de nos incontournables smartphones...

    En 75 jours, rien ne nous a manqué !

          

    Chambres d’’hôtes pratique                             

    Rien de plus facile que de trouver une chambre 24 heures à l’avance, voire dans la journée pour le soir même avec un  smartphone et un abonnement comprenant l’Internet : pour peu qu’il y ait de l’antenne, on a rarement mis plus d’une demi-heure, même depuis le bord de la route, pour trouver notre gîte quotidien. Le marché regorge d’applications bien fichues (filtres par prix, par proximité, calendrier de disponibilité) qu’on ne s’est pas privés d’utiliser : Chambresd’hôte.fr, AirBnb, Booking.com, Hôtels.com ou tout simplement les pages jaunes...

    Cela dit, ce type de nomadisme impose parfois d’adapter son parcours aux disponibilités, mais l’imprévu, c’est aussi le piment du voyage...

    On a fortement privilégié les chambres d’hôtes pour l’accueil, la variété des lieux, des décos et des rencontres... et le tarif : 52 euros en moyenne, petit déjeuner compris, contre 83 euros en moyenne en hôtellerie standard (en comptant le petit déjeuner). On a trouvé que ça faisait cher du café-pain-beurre pour un accueil souvent moyen en prime ! 

     

    Combien ça coûte

    Le vélo itinérant sans tente et sans popotte peut vite devenir coûteux, mais un budget voyage, c’est toujours une affaire de compromis... et de réalisme (mieux vaut partir moins longtemps et pouvoir dépenser selon son bon plaisir si tel est son souhait).

    Nous, notre crédo, ça serait plutôt loin et longtemps : ça tombe bien, les dépenses somptuaires nous laissent froids et pour nous, l’argent n’est qu’un outil qui doit rendre possible des rencontres et la découverte de lieux magiques.

    Armés de cette philosophie et d’un peu de vigilance, on a maintenu le budget, tout compris pour deux, dans une moyenne quotidienne de 95,76 euros sur 75 jours, soit un total de 7182 euros. En gros, 1436 euros par tête et par mois.

    Finalement, le bonheur, c’est simple comme un gros smic...

     

    Dans le détail

    - 15 nuits en hôtel : 1254 euros

    - 48 nuits en chambres d’hôtes : 2450 euros

    - Epicerie (pique-niques, dîners et participation aux frais de bouche quand on était logés chez des amis ou dans la famille) : 2147 euros

    - Restaurants : 915 euros

    - Pharmacie : 86 euros

    - vélos (changement des roues avant complètes à Montélimar, deux paires de patins de freins et un pneu arrière) : 330 euros 

     

     

     


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